Monthly Archives: mai 2020

de Launoit Jean-Pierre

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1952. Docteur en droit et maître en sciences économiques, il fait ses premières armes au sein des sociétés de son père Paul, avant de devenir administrateur de sociétés. Au sein de GBL (Groupe Bruxelles Lambert), il devient vice-président du conseil d’administration et administrateur délégué. Il est également vice-président de la BBL et président du conseil d’administration d’Axa Belgium (anciennement Royale Belge). Il est ausi président de la Compagnie luxembourgeoise pour l’audiovisuel et la finance (Audiofina), de la Compagnie luxembourgeoise de Télédiffusion (RTL), de RTL-TVi et de la Compagnie des Wagons-Lits. Il sera surtout le président (depuis 1987) des concours internationaux de musique Reine Elisabeth. Il sera encore président du comité de soutien du Belgian Kids Fund et de Kids’ Care, président général de l’Alliance française (depuis 2004), président de Télévie et Citoyen d’honneur d’Uccle.

Delens Jacques

Il sort du Collège Saint-Michel (Ie scientifique) en 1946. Fils de l’entrepreneur général Maurice Delens, il est administrateur-directeur de la SA Les Entreprises Maurice Delens SA, pour laquelle il supervise la construction de la Tour du Midi, jusqu’au moment où il crée la SA Jacques Delens en 1967. Il y restera lié d’une manière ou d’une autre pendant 50 ans. Elle se développe avant en 1982 d’être intégrées au groupe Besix, en tant qu’entité régionale. Entreprise générale de construction et de promotion immobilière, elle est active principalement à Bruxelles et dans le Brabant wallon. Plusieurs projets phares sont à mettre à son actif : la réalisation de la cité universitaire de Louvain-la-Neuve, la construction de plusieurs bâtiments neufs et des rénovations pour le groupe hospitalier CHIREC, la participation dans la construction du Parlement européen, la rénovation de l’Atomium, la construction du nouveau terminal de l’aéroport de Liège, la restauration du Botanique, la construction de la Solvay Brussels School (ULB) et le Brussels Square Meeting Center. Il fut aussi administrateur-délégué de Betonimmo et Delfré Immotilleul. Il est par ailleurs vice-président de la Confédération nationale de la Construction, président de l’Association du Brabant des entrepreneurs généraux, administrateur de l’UEB, de la FNB et past président et membre fondateur du Rotary Club de Bruxelles-sud en 1956.

de Meeûs d’Argenteuil Ludovic

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1910 avant d’y accomplir son Cours scientifique supérieur (CSS) l’année suivante. Il fait toute la Premier Guerre mondiale au front, ce qui lui vaut la croix de guerre avec palmes, la croix de l’Yser et la croix du Feu avec huit chevrons de front. Il s’imposera progressivement dans les conseils d’administration de quatre sociétés papetières importantes dont son fils Louis poursuivra l’intégration en créant la SA Intermills. Il contribuera à l’implantation de la Kredietbank en Wallonie en créant la Banque du Crédit général. Il présidera le RACB et la société philatélique belge.

Dumont Jacques

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1934 où il a été scout (il fait le jamboree de Birkenhead), puis routier dans les Ardents de Saint-Michel, avant de servir comme assistant de troupe dans la 28e BP de Saint-Antoine. Il fait son service militaire en 1936-1937, travaille brièvement au XXe Siècle, puis est mobilisé au 2e Guides et fait la campagne des 18 Jours. Il est fait prisonnier de guerre, mais est relâché. Il est ensuite résistant armé dans l’Armée secrète. Après la guerre, il devient journaliste dans d’éphémères publications comme Le Quotidien et Cette semaine, avant de devenir rédacteur en chef de Pygmalion, la revue mensuelle de l’Armée secrète, et Hospitalia, mensuel de la Fédération des Institutions hospitalières. En parallèle, il rejoint La Métropole en 1953 qu’il quitte en 1955 pour entrer au Commissariat général de l’Expo 1958 où il est rapidement directeur des publications. Il publiera notamment après l’expo le Mémorial en huit volumes. En 1960, il entre chez Marabout comme rédacteur en chef de Marabout Flash, où il signera une série d’ouvrages, et directeur de la collection Marabout Service. Il devient ensuite directeur littéraire de toutes les collections en 1971 au départ de Jean-Jacques Schellens et le reste jusqu’à sa retraite en 1974. De 1948 à 1976, il est conseiller communal PSC à Tongre-Notre-Dame. Il présidera aussi six ans le CPAS de Chièvres. Il est l’auteur de Marguerite d’Autriche, Bruges et la mer et d’un livre sur 1940 (avec Jean Vanwelkenhuyzen), 1940. Le Grand Exode. Il a laissé une autobiographie Et plus les années passaient.

Dupret Georges-Henri

Il sortit du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1925 et y fit son CSS l’année suivante. Il devint ingénieur civil mécanicien et électricien de l’UCL et commença sa carrière chez Electrorail, s’occupant de centrales électriques et de réseaux de distribution. En 1941, il prit la direction de la société Léonard Biermans qui fabriquait des cartes à jouer et des papiers colorés à Turnhout, Marcq-en-Barœul et Calcutta. Il utilisa cette couverture pour protéger des juifs et des réfractaires au STO. Rejoignant la résistance, il fut d’abord membre de la Légion belge, puis fut recruté comme bras droit du chef de la Kempisch Legioen où il faisait partie de la Witte Brigade Fidelio. Dénoncé, il fut emprisonné de décembre 1942 à juillet 1943. Après l’arrestation de son chef Omer Bobon, il devint commandant national de ce mouvement de 4.000 hommes qui multipliait sabotages et coups de main. Il fut fait colonel de la Résistance. Candidat pour l’Union démocratique belge en 1945, il ne fut pas élu. Il dirigea la société Léonard Biermans jusqu’à sa vente en 1970. Il fut président de la Gilde des arbalétriers de Meerle.

Dussenne Michel

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1953. Il entre brièvement dans l’ordre des Pères blancs, avant de décrocher un diplôme de docteur en droit à l’UCL. Il entame ensuite une carrière dans la banque, d’abord au sein de la Banque de Bruxelles, puis au sein de la BBL. Il est ensuite directeur général de l’entreprise de construction CEI, ce qui l’amènera aussi à la présidence de la Confédération nationale de la construction. Il termine sa carrière comme président du conseil d’administration de Belgacom de 1994 à 2002. Proche du PSC, il sera aussi président de l’ADIC et président de la Fédération belge francophone, puis de la Confédération européenne des anciens élèves des jésuites.

Fabri Philippe

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1933. Il devient docteur en droit. Il fonde avec Paul van den Bosch en 1956 le Crédit général foncier et immobilier dont il devient administrateur directeur. Cet établissement, engagé dans les affaires coloniales, étend ses participations dans le groupe Hallet, ce qui lui permet de devenir...

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François Marcel

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1920. Il y décroche d’ailleurs la médaille d’or à l’issue de ses études. Il devient ingénieur civil de l’ULB. Il sera chef d’entreprise, en créant la SA Entreprises Ed. François et Fils qui s’imposera comme une des grandes entreprises générales de Bruxelles et du pays. Il fut notamment le constructeur de la Jonction, de la gare centrale et de la Banque nationale, ainsi que divers tunnels et tronçons du métro bruxellois dont le tunnel au bouclier sous le Parc de Bruxelles. Son entreprise réalisa aussi un grand nombre d’immeubles administratifs, résidentiels et industriels. Il était membre actif de diverses organisations professionnelles comme le bureau SECO, l’ADEB et le Comité Supérieur de Contrôle. Il était lieutenant de réserve.

Goemaere Adolphe

Il sortit du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1914 dans la même classe que son frère Joseph. Pendant la Première Guerre mondiale, il fut adjudant sur l’Yser. Il succéda à son père à la tête de l’imprimerie familiale. Il devint ainsi éditeur et Imprimeur du Roi. Il fut médaille de bronze en hockey aux Jeux Olympiques de 1920 à Anvers et participa encore à ceux de 1928 où l’équipe belge finit quatrième.

Goossens John-Jean

Il sortit du Collège Saint-Michel (Ière moderne) en 1962. Après avoir obtenu une licence en sciences commerciales et financières (UCL), il décrocha un Master of Business Administration (Université Columbia, New York). Passionné de course automobile, il était membre du CA du Royal Automobile Club de Belgique et son président en 2001 et de la Fédération internationale de l’automobile (FIA). Il débuta sa carrière professionnelle chez General Motors Overseas Corporation (GMOC) en 1968 comme coordinateur de la stratégie. En 1971, il revint en Belgique comme stagiaire en management auprès du groupe pétrolier Texaco, où il devint ensuite directeur des ventes puis directeur général. En 1989, il reprit la direction de la filiale anversoise du groupe Alcatel Bell. En 1995, il succéda à Bessel Kok à la tête de Belgacom. Il transforma l’ancienne RTT en une société anonyme de droit public, au moment de l’ouverture à la concurrence du secteur des télécommunications et de l’émergence de deux technologies majeures, Internet et la mobilophonie. Il siégeait au conseil d’administration des entreprises TotalFinaElf, KBC, GBL et des fédérations professionnelles FEB et VEV. Amoureux de sport, de golf et de voile en particulier, il organisa le parrainage par Belgacom du trimaran de Jean-Luc Nélias, qui participa à la Route du Rhum. Il fut élevé au rang de baron en 2000.

Le Hodey Philippe

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1931. Docteur en droit (1936), il devint avocat au Barreau de Bruxelles (jusqu’en 1945). Politiquement, il fut député de l’arrondissement de Neufchâteau (à partir de 1949), sénateur et parlementaire européen. Il était membre du Comité de direction de plusieurs sociétés industrielles et président de la S.A. Métallurgique d’Espérance Longdoz. Il fut un grand scout, membre de la 35e des Ardents de Saint-Michel. En janvier 1934, il y est assistant de troupe, puis, dès septembre, chef de troupe, fonction qu’il occupera jusqu’en 1944. En 1938, il devient également chef du Clan du Feu de la 35e. En 1942, il acquiert son Woodbadge scout, devient chef d’unité de la 35e et lance le Challenge du Furet, grand rallye inter-troupes de la F.S.C. Il sera ensuite commissaire au scoutisme de la F.S.C. de 1943 à 1948. Au même moment, il siège au Conseil National de la Jeunesse (1944-1947). Il sera par après président de l’Association des Amis de l’Université de Louvain (1963), membre du Conseil Général de l’Université de Louvain et administrateur de la F.S.C.

Michel Roland

Il sort du Collège Saint-Michel (Ière moderne) en 1953.Il devient ingénieur commercial et licencié en sciences économiques de l’UCL. Il s’investit dans l’entreprise de pompes funèbres, fondée par son père en 1921. Il en deviendra l’administrateur gérant. Depuis les années 30, le ministère de l’Intérieur et la cour de Belgique témoignent à son...

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Nicolaï Paul

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1925. Il devient ingénieur agronome de la KU Leuven.Il devient industriel de la fruiticulture en développant des techniques pionnières. En Hesbaye en 1929, il fait une première tentative prudente avec un tronc bas comme plantation intermédiaire dans le cas d’un tronc standard, mais les deux se sont révélés incompatibles. Il en tire les leçons et établit en 1937 une plantation à basse tige (25 ha) à Gorsem. Au départ, ce verger est encore construit selon le système dit de « blijver-wijker » : d’abord les arbres sont plantés en masse, ensuite les arbres à faible croissance sont arrachés. À la fin des années 1930, il fait pression sur diverses entreprises chimiques pour qu’elles créent un bureau de vente d’agents de lutte contre les insectes et les maladies en Hesbaye. Il s’associe à la société belge Protex vers 1938, puis à Bayer. Il crée le bureau de vente Bayer Agrochimie Nicolaï et Compagnie à Saint-Trond. Il devient le premier commerçant de produits phytopharmaceutiques de la région. Dans l’entreprise de fruits Gorsem, il teste les produits en vente afin de pouvoir expliquer l’utilisation et le fonctionnement des produits aux clients. En résulte la création de la station de recherche de Gorsem en 1943. Le bureau de vente est restructuré en 1946 sous le nom de Bayer-Gorsac (Gorsem Agro Chemie). Il crée aussi un syndicat de producteurs en 1932 sous la forme d’une coopérative d’exportation, l’United Fruit Producers (UFP). Il est membre du CA de nombreuses institutions flamandes dont le Limburgs Universitair Centrum, la Kamer van Nijverheid Limburg, la Stichting Ons Erfdeel ou le Ingenieurs tehuis, mais aussi de la Belgische fruittelers organisatie.

Nolet de Brauwere van Steeland Hugues

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1947. Il fut un chef scout dans les Ardents de Saint-Michel. Docteur en droit et licencié en sciences économiques appliquées UCL, il reprit l’entreprise familiale de distribution de vins et liqueurs dont il était la 9e génération. Il fut administrateur délégué de Cinoco, présente à Bruxelles depuis le début du XXe siècle. Il fut vice-président de la Confédération des Vins et Spiritueux. Politiquement, il fut conseiller communal de Woluwe-Saint-Lambert de 1963 à 1979. Il fut aussi administrateur de l’AEP, de l’Œuvre nationale d’aide à la jeunesse, de la SA Centrale sociale de Bruxelles (anciennement Patria) et président de Caritas catolica international. Il fut encore président des anciens Ardents. Il fut anobli par le roi.

Pelgrims de Bigard Eugène-Willy

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1925. Il abandonne des études de droit et préfère construire un des premiers postes de radio amateur en Belgique. Dès 1929, il fonde le label Fonior qui fabrique des phonographes avec un dispositif de son invention pour arrêter la table tournante et vend aussi des disques....

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Peterbroeck Jean

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1952.Il devient docteur en droit et licencié en sciences économiques de l’UCL. Il est également détenteur d’un MBA de Columbia. Issu d’une lignée d’agents de change, il le sera aussi et fonde avec Etienne Van Campenhout, en 1968, la société Peterbroeck, Van Campenhout et Cie, devenue depuis Petercam, une des plus grandes charges d’agent de change du pays, puis une banque. Il est administrateur de sociétés, comme NYSE Euronext, CMB et Lhoist. Il est président de la Commission de la Bourse de Bruxelles. À ce titre, il est le fondateur de l’indice BEL20. Il sera aussi échevin de Lasne. Il était le principal mécène du musée de Louvain-la-Neuve. Il est anobli et fait baron par le roi Albert II en 1995.

Puissant Baeyens Fernand

Il sortit du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1909. Petit-fils de Ferdinand Baeyens, ce dernier assura son éducation à la mort de son père. Docteur en droit de l’Université catholique de Louvain, il termina ses études durant le premier conflit mondial. Il intégra dès lors le barreau d’Anvers où il plaida de nombreuses années. Entré dans le monde des affaires, il assura les fonctions d’administrateur de la succursale anversoise de la Société belge de Banque à partir de 1932. Fondateur de la société Le Comptoir diamantaire anversois, active dans le commerce des pierres précieuses, il devint administrateur-délégué de la Caisse générale de reports et de dépôts sous la présidence de Charles Fabri. Administrateur-délégué de la Banque de la Société générale de Belgique de 1943 à 1951, il participa par la suite aux négociations interbancaires liées à la formation du Benelux. Entré au C.A. de l’Office belge du Commerce extérieur, il participa également aux activités du Conseil central de l’économie. Il fut aussi administrateur de l’Institut de réescompte et de garantie et de la Caisse des dépôts et consignations. Parallèlement à ces fonctions, il fit partie du conseil de fabrique de l’église Saint-Adrien à Ixelles et occupa les fonctions d’administrateur des œuvres de la Société royale de philanthropie durant plus de dix années (1969-1981).

Rolin Etienne

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1909 où il accomplit son CSS en 1909-1910. En 1919, il devient ingénieur civil des mines de l’UCL. Volontaire de guerre en 1914-1918, il s’engage après la guerre dans une carrière d’industriel qui l’amènera à des postes de responsabilité importants. Il sera administrateur délégué d’Intercom, administrateur directeur d’Electrobel et président du CA de Gazelec. Il est encore président de La Floridienne et vice-président de la Société des Tramways bruxellois. Il sera aussi président de l’Union des entreprises électriques en Belgique de 1939 à 1945 et échevin PSC des finances de Rhode-Saint-Genèse de 1946 à 1955.

Smits Pierre

Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1910. La guerre interrompt ses études d’ingénieur mécanicien-électricien à l’université de Mons et il sort du conflit avec le rang de capitaine d’artillerie. Devenu diplômé en 1920, il entame l’année suivante une fulgurante carrière au sein des sociétés du groupe de la Société de traction et électricité où il devient ingénieur, puis secrétaire général, directeur et enfin administrateur directeur en 1946. En 1932, il crée la première société intercommunale mixte, modèle qu’il développera largement par la suite. En 1946, il devient administrateur délégué de la Société d’électricité de l’Escaut et de la Société de traction et électricité, avant d’en devenir le président du comité exécutif en 1953, puis le président du CA en 1959. Il devient directeur de la Société générale de Belgique en 1953 où il contribue au développement de Tractionel. Il diversifie ses activités vers le Congo, mais aussi sectoriellement dans le pétrole, l’aluminium et l’alimentaire. Il préside de nombreuses sociétés (Electrobel, Sogelec, Sogefor, Seco). Il réalise en 1956 la fusion des sociétés d’électricité de Tractionel en une entité, l’EBES, qu’il préside jusqu’en 1969. Entré au comité de direction de l’UEEB dès 1924, il prend à cœur la défense des électriciens. Face aux menaces d’une nationalisation de l’électricité en Belgique, il mettra au point la formule originale du Comité de contrôle de l’électricité. Nommé au Conseil central de l’économie, il siège à la commission économique pour l’Europe de l’ONU où il préside le comité de l’énergie électrique.

Tibbaut Gustave

Il sortit du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1910. Soldat en 1914-1918, il s’engagea pour le Congo en 1916, en qualité de sous-officier, pour la durée de la guerre dans les troupes coloniales belges en campagne dans l’Est africain allemand. Une fois ses études de droit terminées après la guerre, il devint avocat mais continua à s’intéresser au problème du Congo. Il le fit notamment en participant aux colloques du Comité permanent du Congrès colonial national et aux travaux de l’Association pour le perfectionnement du matériel colonial, et en assumant des responsabilités d’administrateur ou de commissaire dans la conduite d’entreprises coloniales comme la Société des chemins de fer vicinaux du Congo, la Compagnie cotonnière congolaise et celle du Népoko, le Crédit foncier africain, la Compagnie d’élevage et d’alimentation du Katanga et la Compagnie sucrière congolaise. Il fut aussi élu député en 1930.

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