Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1922. Il est licencié en sciences commerciales de Saint-Ignace à Anvers. Il est prisonnier pendant la guerre 1940-1945. Il sera courtier en vins et directeur de la sprl J. Brochier. Il sera aussi administrateur des Ets J. Fourcroy et fils et directeur de Sobybel. Il sera encore vice-président de la Fédération internationale des Industries et du Commerce des vins, spiritueux et liqueurs et conseiller de la Fédération Internationale du Commerce en Gros des Vins et Spiritueux. Il est surtout fondateur et directeur de la Revue Belge des Vins et Spiritueux. Il est l’auteur de Petit bréviaire de l’amateur de vin (1986). Il est lieutenant de réserve honoraire.
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Coppée Evence-Arnold
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1946. Il devient ingénieur des mines de l’UCL et suit également des cours d’économie au MIT. Il a 16 ans lorsque son père décède. Son tuteur sera Philippe Le Hodey, le mari de sa sœur, député de Neufchâteau/Virton. Il devient gérant de Evence Coppée et Cie et administrateur des très nombreuses sociétés qui composent le groupe. Comme ses prédécesseurs, celui qu’on appelle Evence IV poursuit le développement du groupe. Il construit de grandes usines dans le monde, réalise les premiers laminoirs à froid d’Europe occidentale après la guerre, développe un pôle biotechnologique, etc. En 1980, il fusionne avec le groupe français Lafarge, pour devenir Lafarge-Coppée. Mais le groupe ne digère pas les branches ingénierie et biotechnologie et le divorce est consommé en 1985. Après sa carrière professionnelle, il diversifie ses activités. En 1982, le roi Baudouin décide de confier la gestion des chasses royales de Saint-Michel et de Freyr à un comité dont la présidence lui est confiée. Les idées de base sont de mettre en place une gestion cynégétique modèle, de promouvoir la recherche scientifique et d’accueillir le public. Dans la foulée, il acquiert la Converserie, imposant édifice qui borde la N 89 près de la barrière de Champlon, et transforme le bâtiment en un centre de séminaires d’entreprises. Il va aussi promouvoir les soins palliatifs qu’il va développer dans toute la province de Luxembourg. Il va aussi s’impliquer dans une œuvre le Baluchon Alzheimer qui vise à donner du répit et de l’accompagnement aux aidants proches d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer. Il était propriétaire du château de Roumont qui accueillit nombre de camps scouts, dont les challenges du Gerfaut. Il fut un des fondateurs de l’Amicolmi.
De Clercq Claude
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1939.Il devient candidat en sciences économiques et politiques avant de s’engager comme volontaire de Guerre en 1940-1945 dans les Brigades d’Irlande. Après la guerre, il devient importateur en Belgique des motos légères Dürrkop, puis des véhicules à trois roues Messerschmitt. C’est lors d’un séjour de quelques mois à New York, en 1954 qu’il a l’idée de construire un parking à Bruxelles. Le parking est ouvert en 1957 et baptisé Parking 58 en vue de l’Expo toute proche. Le parking de l’Albertine est construit deux ans plus tard, puis suivent les parkings du Passage 44, de la Grand-Place, du City 2. Sa société Interparking compte aujourd’hui 22 parkings à Bruxelles. La société s’est étendue à Gand, Knokke, Liège, Anvers et Zaventem, puis dans de nombreux pays européens. Un des acteurs majeurs du parking en Europe, elle exploite en 2019 827 parkings pour un total de 383.088 places dans 9 pays et réalise 463 millions d’euros de chiffre d’affaires. Sportif accompli, il est champion de Belgique et vice-champion du monde de ski nautique en 1952.
de Jonghe d’Ardoye Charles
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1924. Il fait des études de droit à l’UCL qu’il commence avec une candidature en philosophie et lettres aux FUNDP. Il est d’abord avocat, de 1929 à 1954, puis devient avocat honoraire jusqu’à sa mort et administrateur de sociétés. Il sera principalement administrateur de 1942 à 1981, puis président de la Compagnie Belge d’Assurance sur la Vie à partir de 1962. Ses autres mandats sont nombreux : président de la Compagnie belge d’assurance contre les risques d’incendie (1967), de la Compagnie financière et de réassurance du groupe AG (1969), de Securitas acquise par OPA (1971), du collège des commissaires de la Société générale de Belgique (1950). Il prend des participations majoritaires dans Le Recours belge, et dans la Société fiduciaire et comptable Eurostandard. Il reprend le groupe Les Propriétaires réunis/Phénix en 1977. En 1980, il fait participer les AG au lancement d’International Network of Insurance. Il est aussi administrateur du Crédit foncier de Belgique, de la Compagnie immobilière du Congo, de la Sogeti et de Cogefimmo. Il sera conseiller communal catholique de Halle de 1932 à 1964 et député de 1946 à 1949. C’était aussi un homme d’œuvres. Il fut président d’honneur des Stations de Plein Air, président du conseil de fabrique de la paroisse Heilig Hart de Breedthout-Halle et président d’honneur de la Société royale de gymnastique Saint-Martin de Halle et de la Fanfare royale Saint-Martin de Halle.
de Launoit Jean-Pierre
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1952. Docteur en droit et maître en sciences économiques, il fait ses premières armes au sein des sociétés de son père Paul, avant de devenir administrateur de sociétés. Au sein de GBL (Groupe Bruxelles Lambert), il devient vice-président du conseil d’administration et administrateur délégué. Il est également vice-président de la BBL et président du conseil d’administration d’Axa Belgium (anciennement Royale Belge). Il est ausi président de la Compagnie luxembourgeoise pour l’audiovisuel et la finance (Audiofina), de la Compagnie luxembourgeoise de Télédiffusion (RTL), de RTL-TVi et de la Compagnie des Wagons-Lits. Il sera surtout le président (depuis 1987) des concours internationaux de musique Reine Elisabeth. Il sera encore président du comité de soutien du Belgian Kids Fund et de Kids’ Care, président général de l’Alliance française (depuis 2004), président de Télévie et Citoyen d’honneur d’Uccle.
Delens Jacques
Il sort du Collège Saint-Michel (Ie scientifique) en 1946. Fils de l’entrepreneur général Maurice Delens, il est administrateur-directeur de la SA Les Entreprises Maurice Delens SA, pour laquelle il supervise la construction de la Tour du Midi, jusqu’au moment où il crée la SA Jacques Delens en 1967. Il y restera lié d’une manière ou d’une autre pendant 50 ans. Elle se développe avant en 1982 d’être intégrées au groupe Besix, en tant qu’entité régionale. Entreprise générale de construction et de promotion immobilière, elle est active principalement à Bruxelles et dans le Brabant wallon. Plusieurs projets phares sont à mettre à son actif : la réalisation de la cité universitaire de Louvain-la-Neuve, la construction de plusieurs bâtiments neufs et des rénovations pour le groupe hospitalier CHIREC, la participation dans la construction du Parlement européen, la rénovation de l’Atomium, la construction du nouveau terminal de l’aéroport de Liège, la restauration du Botanique, la construction de la Solvay Brussels School (ULB) et le Brussels Square Meeting Center. Il fut aussi administrateur-délégué de Betonimmo et Delfré Immotilleul. Il est par ailleurs vice-président de la Confédération nationale de la Construction, président de l’Association du Brabant des entrepreneurs généraux, administrateur de l’UEB, de la FNB et past président et membre fondateur du Rotary Club de Bruxelles-sud en 1956.
de Meeûs d’Argenteuil Ludovic
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1910 avant d’y accomplir son Cours scientifique supérieur (CSS) l’année suivante. Il fait toute la Premier Guerre mondiale au front, ce qui lui vaut la croix de guerre avec palmes, la croix de l’Yser et la croix du Feu avec huit chevrons de front. Il s’imposera progressivement dans les conseils d’administration de quatre sociétés papetières importantes dont son fils Louis poursuivra l’intégration en créant la SA Intermills. Il contribuera à l’implantation de la Kredietbank en Wallonie en créant la Banque du Crédit général. Il présidera le RACB et la société philatélique belge.
Dumont Jacques
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1934 où il a été scout (il fait le jamboree de Birkenhead), puis routier dans les Ardents de Saint-Michel, avant de servir comme assistant de troupe dans la 28e BP de Saint-Antoine. Il fait son service militaire en 1936-1937, travaille brièvement au XXe Siècle, puis est mobilisé au 2e Guides et fait la campagne des 18 Jours. Il est fait prisonnier de guerre, mais est relâché. Il est ensuite résistant armé dans l’Armée secrète. Après la guerre, il devient journaliste dans d’éphémères publications comme Le Quotidien et Cette semaine, avant de devenir rédacteur en chef de Pygmalion, la revue mensuelle de l’Armée secrète, et Hospitalia, mensuel de la Fédération des Institutions hospitalières. En parallèle, il rejoint La Métropole en 1953 qu’il quitte en 1955 pour entrer au Commissariat général de l’Expo 1958 où il est rapidement directeur des publications. Il publiera notamment après l’expo le Mémorial en huit volumes. En 1960, il entre chez Marabout comme rédacteur en chef de Marabout Flash, où il signera une série d’ouvrages, et directeur de la collection Marabout Service. Il devient ensuite directeur littéraire de toutes les collections en 1971 au départ de Jean-Jacques Schellens et le reste jusqu’à sa retraite en 1974. De 1948 à 1976, il est conseiller communal PSC à Tongre-Notre-Dame. Il présidera aussi six ans le CPAS de Chièvres. Il est l’auteur de Marguerite d’Autriche, Bruges et la mer et d’un livre sur 1940 (avec Jean Vanwelkenhuyzen), 1940. Le Grand Exode. Il a laissé une autobiographie Et plus les années passaient.
Dupret Georges-Henri
Il sortit du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1925 et y fit son CSS l’année suivante. Il devint ingénieur civil mécanicien et électricien de l’UCL et commença sa carrière chez Electrorail, s’occupant de centrales électriques et de réseaux de distribution. En 1941, il prit la direction de la société Léonard Biermans qui fabriquait des cartes à jouer et des papiers colorés à Turnhout, Marcq-en-Barœul et Calcutta. Il utilisa cette couverture pour protéger des juifs et des réfractaires au STO. Rejoignant la résistance, il fut d’abord membre de la Légion belge, puis fut recruté comme bras droit du chef de la Kempisch Legioen où il faisait partie de la Witte Brigade Fidelio. Dénoncé, il fut emprisonné de décembre 1942 à juillet 1943. Après l’arrestation de son chef Omer Bobon, il devint commandant national de ce mouvement de 4.000 hommes qui multipliait sabotages et coups de main. Il fut fait colonel de la Résistance. Candidat pour l’Union démocratique belge en 1945, il ne fut pas élu. Il dirigea la société Léonard Biermans jusqu’à sa vente en 1970. Il fut président de la Gilde des arbalétriers de Meerle.
Dussenne Michel
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1953. Il entre brièvement dans l’ordre des Pères blancs, avant de décrocher un diplôme de docteur en droit à l’UCL. Il entame ensuite une carrière dans la banque, d’abord au sein de la Banque de Bruxelles, puis au sein de la BBL. Il est ensuite directeur général de l’entreprise de construction CEI, ce qui l’amènera aussi à la présidence de la Confédération nationale de la construction. Il termine sa carrière comme président du conseil d’administration de Belgacom de 1994 à 2002. Proche du PSC, il sera aussi président de l’ADIC et président de la Fédération belge francophone, puis de la Confédération européenne des anciens élèves des jésuites.
Fabri Philippe
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1933. Il devient docteur en droit. Il fonde avec Paul van den Bosch en 1956 le Crédit général foncier et immobilier dont il devient administrateur directeur. Cet établissement, engagé dans les affaires coloniales, étend ses participations dans le groupe Hallet, ce qui lui permet de devenir...
François Marcel
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1920. Il y décroche d’ailleurs la médaille d’or à l’issue de ses études. Il devient ingénieur civil de l’ULB. Il sera chef d’entreprise, en créant la SA Entreprises Ed. François et Fils qui s’imposera comme une des grandes entreprises générales de Bruxelles et du pays. Il fut notamment le constructeur de la Jonction, de la gare centrale et de la Banque nationale, ainsi que divers tunnels et tronçons du métro bruxellois dont le tunnel au bouclier sous le Parc de Bruxelles. Son entreprise réalisa aussi un grand nombre d’immeubles administratifs, résidentiels et industriels. Il était membre actif de diverses organisations professionnelles comme le bureau SECO, l’ADEB et le Comité Supérieur de Contrôle. Il était lieutenant de réserve.
Goemaere Adolphe
Il sortit du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1914 dans la même classe que son frère Joseph. Pendant la Première Guerre mondiale, il fut adjudant sur l’Yser. Il succéda à son père à la tête de l’imprimerie familiale. Il devint ainsi éditeur et Imprimeur du Roi. Il fut médaille de bronze en hockey aux Jeux Olympiques de 1920 à Anvers et participa encore à ceux de 1928 où l’équipe belge finit quatrième.
Goossens John-Jean
Il sortit du Collège Saint-Michel (Ière moderne) en 1962. Après avoir obtenu une licence en sciences commerciales et financières (UCL), il décrocha un Master of Business Administration (Université Columbia, New York). Passionné de course automobile, il était membre du CA du Royal Automobile Club de Belgique et son président en 2001 et de la Fédération internationale de l’automobile (FIA). Il débuta sa carrière professionnelle chez General Motors Overseas Corporation (GMOC) en 1968 comme coordinateur de la stratégie. En 1971, il revint en Belgique comme stagiaire en management auprès du groupe pétrolier Texaco, où il devint ensuite directeur des ventes puis directeur général. En 1989, il reprit la direction de la filiale anversoise du groupe Alcatel Bell. En 1995, il succéda à Bessel Kok à la tête de Belgacom. Il transforma l’ancienne RTT en une société anonyme de droit public, au moment de l’ouverture à la concurrence du secteur des télécommunications et de l’émergence de deux technologies majeures, Internet et la mobilophonie. Il siégeait au conseil d’administration des entreprises TotalFinaElf, KBC, GBL et des fédérations professionnelles FEB et VEV. Amoureux de sport, de golf et de voile en particulier, il organisa le parrainage par Belgacom du trimaran de Jean-Luc Nélias, qui participa à la Route du Rhum. Il fut élevé au rang de baron en 2000.
Le Hodey Philippe
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1931. Docteur en droit (1936), il devint avocat au Barreau de Bruxelles (jusqu’en 1945). Politiquement, il fut député de l’arrondissement de Neufchâteau (à partir de 1949), sénateur et parlementaire européen. Il était membre du Comité de direction de plusieurs sociétés industrielles et président de la S.A. Métallurgique d’Espérance Longdoz. Il fut un grand scout, membre de la 35e des Ardents de Saint-Michel. En janvier 1934, il y est assistant de troupe, puis, dès septembre, chef de troupe, fonction qu’il occupera jusqu’en 1944. En 1938, il devient également chef du Clan du Feu de la 35e. En 1942, il acquiert son Woodbadge scout, devient chef d’unité de la 35e et lance le Challenge du Furet, grand rallye inter-troupes de la F.S.C. Il sera ensuite commissaire au scoutisme de la F.S.C. de 1943 à 1948. Au même moment, il siège au Conseil National de la Jeunesse (1944-1947). Il sera par après président de l’Association des Amis de l’Université de Louvain (1963), membre du Conseil Général de l’Université de Louvain et administrateur de la F.S.C.
Michel Roland
Il sort du Collège Saint-Michel (Ière moderne) en 1953.Il devient ingénieur commercial et licencié en sciences économiques de l’UCL. Il s’investit dans l’entreprise de pompes funèbres, fondée par son père en 1921. Il en deviendra l’administrateur gérant. Depuis les années 30, le ministère de l’Intérieur et la cour de Belgique témoignent à son...
Nicolaï Paul
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1925. Il devient ingénieur agronome de la KU Leuven.Il devient industriel de la fruiticulture en développant des techniques pionnières. En Hesbaye en 1929, il fait une première tentative prudente avec un tronc bas comme plantation intermédiaire dans le cas d’un tronc standard, mais les deux se sont révélés incompatibles. Il en tire les leçons et établit en 1937 une plantation à basse tige (25 ha) à Gorsem. Au départ, ce verger est encore construit selon le système dit de « blijver-wijker » : d’abord les arbres sont plantés en masse, ensuite les arbres à faible croissance sont arrachés. À la fin des années 1930, il fait pression sur diverses entreprises chimiques pour qu’elles créent un bureau de vente d’agents de lutte contre les insectes et les maladies en Hesbaye. Il s’associe à la société belge Protex vers 1938, puis à Bayer. Il crée le bureau de vente Bayer Agrochimie Nicolaï et Compagnie à Saint-Trond. Il devient le premier commerçant de produits phytopharmaceutiques de la région. Dans l’entreprise de fruits Gorsem, il teste les produits en vente afin de pouvoir expliquer l’utilisation et le fonctionnement des produits aux clients. En résulte la création de la station de recherche de Gorsem en 1943. Le bureau de vente est restructuré en 1946 sous le nom de Bayer-Gorsac (Gorsem Agro Chemie). Il crée aussi un syndicat de producteurs en 1932 sous la forme d’une coopérative d’exportation, l’United Fruit Producers (UFP). Il est membre du CA de nombreuses institutions flamandes dont le Limburgs Universitair Centrum, la Kamer van Nijverheid Limburg, la Stichting Ons Erfdeel ou le Ingenieurs tehuis, mais aussi de la Belgische fruittelers organisatie.
Nolet de Brauwere van Steeland Hugues
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1947. Il fut un chef scout dans les Ardents de Saint-Michel. Docteur en droit et licencié en sciences économiques appliquées UCL, il reprit l’entreprise familiale de distribution de vins et liqueurs dont il était la 9e génération. Il fut administrateur délégué de Cinoco, présente à Bruxelles depuis le début du XXe siècle. Il fut vice-président de la Confédération des Vins et Spiritueux. Politiquement, il fut conseiller communal de Woluwe-Saint-Lambert de 1963 à 1979. Il fut aussi administrateur de l’AEP, de l’Œuvre nationale d’aide à la jeunesse, de la SA Centrale sociale de Bruxelles (anciennement Patria) et président de Caritas catolica international. Il fut encore président des anciens Ardents. Il fut anobli par le roi.
Pelgrims de Bigard Eugène-Willy
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1925. Il abandonne des études de droit et préfère construire un des premiers postes de radio amateur en Belgique. Dès 1929, il fonde le label Fonior qui fabrique des phonographes avec un dispositif de son invention pour arrêter la table tournante et vend aussi des disques....
Peterbroeck Jean
Il sort du Collège Saint-Michel (rhétorique) en 1952.Il devient docteur en droit et licencié en sciences économiques de l’UCL. Il est également détenteur d’un MBA de Columbia. Issu d’une lignée d’agents de change, il le sera aussi et fonde avec Etienne Van Campenhout, en 1968, la société Peterbroeck, Van Campenhout et Cie, devenue depuis Petercam, une des plus grandes charges d’agent de change du pays, puis une banque. Il est administrateur de sociétés, comme NYSE Euronext, CMB et Lhoist. Il est président de la Commission de la Bourse de Bruxelles. À ce titre, il est le fondateur de l’indice BEL20. Il sera aussi échevin de Lasne. Il était le principal mécène du musée de Louvain-la-Neuve. Il est anobli et fait baron par le roi Albert II en 1995.
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