La société Pick it UP : une création de trois Anciens (Ads 2015)
Christophe Poncelet (Ads 1978) est parti à la rencontre de trois Anciens : Antoine Jacquemin, Nelson Cloquet et Brieuc Plas qui ont transformé un mythique pick-up en ‘drink truck’ –
Peux-tu, cher Antoine, nous parler de Pick it UP ?
 L’histoire commence en mai 2020 suite à un appel de Nelson. Il nous informe qu’une vieille Peugeot 403 de 1960 est sur le point d’être envoyée à la casse à moins que l’on souhaite lui donner une nouvelle vie. Celle-ci n’a plus de moteur et son système de frein est totalement HS. Ni une, ni deux, nous nous retrouvons tous les trois face à ce mythique ancêtre le lendemain après-midi afin de commencer notre brainstorming. De par le style pick-up de la voiture, nous convergeons assez rapidement vers l’idée d’en faire un bar truck. Puisque le moteur est manquant, nous voyons l’aubaine que des fûts de bières peuvent facilement occuper ce compartiment. Puis, exit la place passager, nous consacrerons cet espace à notre pompe à bière. Enfin, nous décidons de faire sauter le plancher de la benne pour pouvoir y installer deux barmans. Le concept est acté, ce sera donc un bar truck. Quatre mois plus tard, notre 403 était opérationnelle pour notre plus grande satisfaction.
L’histoire commence en mai 2020 suite à un appel de Nelson. Il nous informe qu’une vieille Peugeot 403 de 1960 est sur le point d’être envoyée à la casse à moins que l’on souhaite lui donner une nouvelle vie. Celle-ci n’a plus de moteur et son système de frein est totalement HS. Ni une, ni deux, nous nous retrouvons tous les trois face à ce mythique ancêtre le lendemain après-midi afin de commencer notre brainstorming. De par le style pick-up de la voiture, nous convergeons assez rapidement vers l’idée d’en faire un bar truck. Puisque le moteur est manquant, nous voyons l’aubaine que des fûts de bières peuvent facilement occuper ce compartiment. Puis, exit la place passager, nous consacrerons cet espace à notre pompe à bière. Enfin, nous décidons de faire sauter le plancher de la benne pour pouvoir y installer deux barmans. Le concept est acté, ce sera donc un bar truck. Quatre mois plus tard, notre 403 était opérationnelle pour notre plus grande satisfaction.
Quels types de boissons et de collations proposez-vous dans votre bar truck ?
Nous servons plusieurs types de boissons. Bien évidemment, l’utilité première de notre bar truck est de servir des bières. L’on peut brancher jusqu’à quatre fûts différents en même temps. Mais ce n’est pas tout, nous proposons également à nos clients de servir des cocktails, du vin, des softs et même des cafés ! Le menu varie toujours en fonction des envies et des besoins des évènements auxquels nous participons.
En parlant d’évènements, quels sont ceux sur lesquels l’on peut vous retrouver ?
Cela dépend bien évidemment des périodes de l’année. Il y a certaines périodes plus creuses que d’autres, en terme d’évènements extérieurs. Globalement, nous travaillons tant sur des évènements publics que privés. L’an dernier, nous avons eu l’occasion de servir à l’occasion d’évènements tels que des mariages, des anniversaires, des fêtes d’entreprise, des festivals de musique, des salons ou encore des évènements sportifs. L’année a été bien remplie pour notre première réelle année d’activité.
Comment gérez-vous les défis logistiques liés à la gestion de votre bar truck, tels que le transport, la réfrigération, ou encore la gestion des déchets ?
Non seulement notre bar truck est un espace assez restreint mais c’est également un véhicule sans moteur. Dès lors, nous le déplaçons soit sur un camion, soit sur un plateau. Cela requiert une certaine logistique mais cela fait partie du jeu. Concernant la chaîne du froid, nous plaçons des bacs isothermes rempli de glaçons aux pieds des barmans. Cela nous permet d’assurer un service de boissons fraîches quelles qu’elles soient. Enfin, pour les déchets, nous n’en produisons que très peu mais nous avons malgré tout une petite poubelle à l’intérieur de la benne.
Quels sont vos projets pour la suite ?
Nous avons deux grands projets à long terme. Le premier est de rendre notre pick-up ‘auto-mobile’ ; puisque le passage à l’électrique est dans l’air du temps, nous placerons un petit moteur sur l’axe arrière. Notre second projet serait d’engager Eden Hazard en tant que barman à plein temps. Maintenant qu’il y voit plus clair sur son avenir, nous nous disons que c’est jouable !…

Merci, cher Antoine, et bon vent pour tes projets !
——————————–
Si vous désirez apporter de l’originalité à votre événement en réservant le Pick it UP de nos trois compères, prenez contact avec eux par téléphone 0476/ 08 00 59 ou par mail à info@pickitup403.be.
Contact également possible via Instagram (pickitup_bar) ou Facebook (Pick it UP).
Info : www.pickitup403.be




 Facebook
								 
									Facebook															
						 Instagram
								 
									Instagram															
						 Twitter
								 
									Twitter															
						 Linkedin
								 
									Linkedin															
						 
				
					 Les Guides Badeaux comprennent une collection de 14 guides, tous plus intéressants les uns que les autres, qui devraient avoir une place de choix dans la bibliothèque de tous ceux qui aiment Bruxelles.
Les Guides Badeaux comprennent une collection de 14 guides, tous plus intéressants les uns que les autres, qui devraient avoir une place de choix dans la bibliothèque de tous ceux qui aiment Bruxelles. Né le 12 août 1938, docteur en droit et licencié en sciences économiques, officier de réserve de la Marine belge, il fait carrière dans le secteur privé avant de se tourner vers le parti écologiste (il fut conseiller communal Ecolo à Saint-Gilles lors de la mandature de 2000) et de promouvoir le cyclisme urbain – qu’il pratique assidûment, notamment comme guide à vélo pour Pro Vélo. Redoublant une grande sociabilité, son intérêt pour les innovations littéraires et artistiques se concentre sur les écrits de Raymond Queneau, dont il devient un collectionneur éminent et un spécialiste reconnu : membre du Collège de Pataphysique, il présidera Les Amis de Valentin Brû. Il intègre aussi les conseils d’administration de plusieurs institutions bruxelloises (Maison du Livre, Quartiers Latins, Maison de la Francité, Musée Horta, CFC Editions), où son érudition, son sens de l’humour et son caractère conciliant le font apprécier de tous.
Né le 12 août 1938, docteur en droit et licencié en sciences économiques, officier de réserve de la Marine belge, il fait carrière dans le secteur privé avant de se tourner vers le parti écologiste (il fut conseiller communal Ecolo à Saint-Gilles lors de la mandature de 2000) et de promouvoir le cyclisme urbain – qu’il pratique assidûment, notamment comme guide à vélo pour Pro Vélo. Redoublant une grande sociabilité, son intérêt pour les innovations littéraires et artistiques se concentre sur les écrits de Raymond Queneau, dont il devient un collectionneur éminent et un spécialiste reconnu : membre du Collège de Pataphysique, il présidera Les Amis de Valentin Brû. Il intègre aussi les conseils d’administration de plusieurs institutions bruxelloises (Maison du Livre, Quartiers Latins, Maison de la Francité, Musée Horta, CFC Editions), où son érudition, son sens de l’humour et son caractère conciliant le font apprécier de tous. Né à Tervueren le 30 mars 1934, après ses humanités gréco-latines (1944-1950) au collège, il entre dans la Compagnie de Jésus où il parcourt le cycle classique de formation jésuite. Après sa licence en philosophie au scolasticat des pères francophones à Eegenhoven-Louvain (1957), il obtient une licence en histoire ecclésiastique à l’Université grégorienne de Rome (1962). Il est l’auteur d’une Bibliographie Ignatienne (1894-1957) parue en 1958. En 1964, il quitte la Compagnie.
Né à Tervueren le 30 mars 1934, après ses humanités gréco-latines (1944-1950) au collège, il entre dans la Compagnie de Jésus où il parcourt le cycle classique de formation jésuite. Après sa licence en philosophie au scolasticat des pères francophones à Eegenhoven-Louvain (1957), il obtient une licence en histoire ecclésiastique à l’Université grégorienne de Rome (1962). Il est l’auteur d’une Bibliographie Ignatienne (1894-1957) parue en 1958. En 1964, il quitte la Compagnie. Né à Ohey le 30 novembre 1939, docteur en médecine interne et médecine nucléaire, Jean-Pol Léonard a débuté sa carrière à Saint-Luc à Bruxelles. Ensuite, il a quitté son parcours universitaire initial (qui lui permit de découvrir l’importance du gluten) pour pratiquer en cabinet privé. Il a dirigé le service de médecine nucléaire au Parc Léopold avant de créer le service de médecine nucléaire au Centre médical Médicis. Il va très vite s’engager dans la défense syndicale et le GBS (Groupement des Unions professionnelles belges de Médecins spécialistes) pendant des années d’efforts ininterrompus. Domicilié au square Vergote, il n’était pas loin de l’INAMI qui était à côté du collège Saint-Michel, ce qui lui permettait des contacts fréquents. Non seulement ses compétences techniques étaient remarquables, mais la législation hospitalière n’avait aucun secret pour lui. Il était aussi versé dans les matières budgétaires et a été l’un des piliers fondamentaux des discussions médico-mutualistes récurrentes. En tant que membre de ce comité, il a pris part à toutes les discussions visant à équilibrer le budget, notamment au sein du Comité de l’assurance et de la Commission du contrôle budgétaire.
Né à Ohey le 30 novembre 1939, docteur en médecine interne et médecine nucléaire, Jean-Pol Léonard a débuté sa carrière à Saint-Luc à Bruxelles. Ensuite, il a quitté son parcours universitaire initial (qui lui permit de découvrir l’importance du gluten) pour pratiquer en cabinet privé. Il a dirigé le service de médecine nucléaire au Parc Léopold avant de créer le service de médecine nucléaire au Centre médical Médicis. Il va très vite s’engager dans la défense syndicale et le GBS (Groupement des Unions professionnelles belges de Médecins spécialistes) pendant des années d’efforts ininterrompus. Domicilié au square Vergote, il n’était pas loin de l’INAMI qui était à côté du collège Saint-Michel, ce qui lui permettait des contacts fréquents. Non seulement ses compétences techniques étaient remarquables, mais la législation hospitalière n’avait aucun secret pour lui. Il était aussi versé dans les matières budgétaires et a été l’un des piliers fondamentaux des discussions médico-mutualistes récurrentes. En tant que membre de ce comité, il a pris part à toutes les discussions visant à équilibrer le budget, notamment au sein du Comité de l’assurance et de la Commission du contrôle budgétaire. Né le 8 avril 1936 dans une famille de brasseurs installée à Burcht, près d’Anvers, il fréquente l’école primaire chez les Frères des Écoles Chrétiennes, mais doit poursuivre sa scolarité, par suite des bombardements du port d’Anvers, au collège Saint-Michel à Bruxelles où il fera des humanités gréco-latines. Il entre au noviciat d’Arlon le 7 septembre 1956, fait ses études de philosophie à Eegenhoven (Leuven) et, après trois années comme éducateur à Charleroi, retourne à Eegenhoven pour les quatre années de théologie. Ce sont les années « 1968 », avec tous les bouleversements de l’époque et la création de l’Institut d’Études Théologiques. Marc sera ordonné prêtre par Mgr André Lefebvre, ancien évêque de Kikwit, le 28 juin 1969.
Né le 8 avril 1936 dans une famille de brasseurs installée à Burcht, près d’Anvers, il fréquente l’école primaire chez les Frères des Écoles Chrétiennes, mais doit poursuivre sa scolarité, par suite des bombardements du port d’Anvers, au collège Saint-Michel à Bruxelles où il fera des humanités gréco-latines. Il entre au noviciat d’Arlon le 7 septembre 1956, fait ses études de philosophie à Eegenhoven (Leuven) et, après trois années comme éducateur à Charleroi, retourne à Eegenhoven pour les quatre années de théologie. Ce sont les années « 1968 », avec tous les bouleversements de l’époque et la création de l’Institut d’Études Théologiques. Marc sera ordonné prêtre par Mgr André Lefebvre, ancien évêque de Kikwit, le 28 juin 1969. Né à Anvers le 16 novembre 1941, il est issu d’une mère d’origine juive et d’un père flamand. Pendant la guerre, son père s’engage dans la Waffen SS en 1942, ce qui met bientôt fin au couple parental. Après la guerre, son père ira en prison et Werner ne le connaîtra pas durant son enfance. Werner Lambersy optera pour le français, acte de résistance comme il le définira lui-même. À partir de 1948, la langue, au sein de son nouveau foyer, est le français. Désormais installé à Bruxelles avec sa mère et sa grand-mère, il fait ses études au collège Saint-Michel. Entre 1960 et 2002, il vend de l’électroménager, de la haute couture, des voitures, du gros matériel de cuisine, des allumettes (pendant quinze ans chez Union Match) avant de devenir attaché littéraire, chargé de la promotion des lettres belges au Centre Wallonie-Bruxelles de Paris pendant une quinzaine d’années, jusqu’en 2002.
Né à Anvers le 16 novembre 1941, il est issu d’une mère d’origine juive et d’un père flamand. Pendant la guerre, son père s’engage dans la Waffen SS en 1942, ce qui met bientôt fin au couple parental. Après la guerre, son père ira en prison et Werner ne le connaîtra pas durant son enfance. Werner Lambersy optera pour le français, acte de résistance comme il le définira lui-même. À partir de 1948, la langue, au sein de son nouveau foyer, est le français. Désormais installé à Bruxelles avec sa mère et sa grand-mère, il fait ses études au collège Saint-Michel. Entre 1960 et 2002, il vend de l’électroménager, de la haute couture, des voitures, du gros matériel de cuisine, des allumettes (pendant quinze ans chez Union Match) avant de devenir attaché littéraire, chargé de la promotion des lettres belges au Centre Wallonie-Bruxelles de Paris pendant une quinzaine d’années, jusqu’en 2002. Né à Schaerbeek le 15 juin 1935, il devient ingénieur commercial UCL avant de décrocher un MBA à la University of Michigan à Detroit et un MBA à la Carnegie Mellon University à Pittsburgh. Successivement, chef de service de Tensia SA, directeur général de Liebig, il fonde Produpress qui reprend le Moniteur Automobile en 1976. S’il n’a pas créé le nom « Moniteur Automobile », qui lui préexistait depuis 1950 (jusqu’à son rachat, il vivotait sous la forme d’un tabloïd de 4 pages reprenant seulement les prix des voitures commercialisées en Belgique), Christian Rousseaux va rapidement en faire le magazine incontournable de la presse auto en Belgique. Il fera monter à bord des pointures comme Paul Frère, qui apporteront leur crédit et leur rigueur.
Né à Schaerbeek le 15 juin 1935, il devient ingénieur commercial UCL avant de décrocher un MBA à la University of Michigan à Detroit et un MBA à la Carnegie Mellon University à Pittsburgh. Successivement, chef de service de Tensia SA, directeur général de Liebig, il fonde Produpress qui reprend le Moniteur Automobile en 1976. S’il n’a pas créé le nom « Moniteur Automobile », qui lui préexistait depuis 1950 (jusqu’à son rachat, il vivotait sous la forme d’un tabloïd de 4 pages reprenant seulement les prix des voitures commercialisées en Belgique), Christian Rousseaux va rapidement en faire le magazine incontournable de la presse auto en Belgique. Il fera monter à bord des pointures comme Paul Frère, qui apporteront leur crédit et leur rigueur.
 Né à Gand le 1er septembre 1936, il est d’ascendance juive allemande et lituanienne orthodoxe par son père et flamande catholique par sa mère. Après ses études secondaires au collège, il étudie l’économie à l’UCL, tout en travaillant dans ce qui était encore la Banque de la Société Générale de Belgique. En 1963, il devient chercheur puis, en 1970-71, professeur à l’UCL et aux Facultés universitaires catholiques de Mons (Fucam). Outre des cours de base en économie politique, il y enseigne les conjonctures économiques, la politique économique et les finances publiques.
Né à Gand le 1er septembre 1936, il est d’ascendance juive allemande et lituanienne orthodoxe par son père et flamande catholique par sa mère. Après ses études secondaires au collège, il étudie l’économie à l’UCL, tout en travaillant dans ce qui était encore la Banque de la Société Générale de Belgique. En 1963, il devient chercheur puis, en 1970-71, professeur à l’UCL et aux Facultés universitaires catholiques de Mons (Fucam). Outre des cours de base en économie politique, il y enseigne les conjonctures économiques, la politique économique et les finances publiques. Robert De Coster est né le 23 mars 1918 à Londres où ses parents avaient fui la guerre. Il sort de rhétorique du collège Saint-Michel en 1936. Il y a été préfet de congrégation, président du comité des sports et surtout un ardent propagandiste de la Jeunesse Etudiante Chrétienne (JEC) dont il sera président de la section du collège. Il devient jésuite, comme sept autres de ses camarades de classe. Docteur en philologie classique, il est ordonné en 1949. Pourtant destiné à l’enseignement universitaire, il s’en va au collège-internat Saint-Paul à Godinne où il reste 17 ans dont onze ans comme professeur de rhétorique. Il rejoint ensuite le collège Saint-Michel en cette même qualité avant d’en devenir directeur quelques mois plus tard. Il le sera de 1970 à 1976, devenant le premier directeur (dit du ‘centre scolaire’) qui ne soit pas en même temps recteur de la communauté jésuite. Il verra la halle de sport inaugurée grâce au financement de l’Amicolmi. Il est encore six ans directeur du collège Saint-Stanislas à Mons où il introduit mixité et rénové. Il est encore six ans recteur de la communauté de Liège, avant de devenir préfet de la Diglette Saint-Michel, maison de vacances des pères jésuites de Saint-Michel et centre de vacances, construite en 1932, en lisière de la forêt de Saint-Hubert. De 1988 à 2017, il en sera l’animateur et y déploiera son génie du bricolage. Forcé par son grand âge de se replier vers la maison de la Colombière à l’arrière de Saint-Michel, il continuera à rédiger des livres. On lui doit notamment Souvenirs d’un vieux routier de l’éducation qu’il publie à l’âge de cent ans.
Robert De Coster est né le 23 mars 1918 à Londres où ses parents avaient fui la guerre. Il sort de rhétorique du collège Saint-Michel en 1936. Il y a été préfet de congrégation, président du comité des sports et surtout un ardent propagandiste de la Jeunesse Etudiante Chrétienne (JEC) dont il sera président de la section du collège. Il devient jésuite, comme sept autres de ses camarades de classe. Docteur en philologie classique, il est ordonné en 1949. Pourtant destiné à l’enseignement universitaire, il s’en va au collège-internat Saint-Paul à Godinne où il reste 17 ans dont onze ans comme professeur de rhétorique. Il rejoint ensuite le collège Saint-Michel en cette même qualité avant d’en devenir directeur quelques mois plus tard. Il le sera de 1970 à 1976, devenant le premier directeur (dit du ‘centre scolaire’) qui ne soit pas en même temps recteur de la communauté jésuite. Il verra la halle de sport inaugurée grâce au financement de l’Amicolmi. Il est encore six ans directeur du collège Saint-Stanislas à Mons où il introduit mixité et rénové. Il est encore six ans recteur de la communauté de Liège, avant de devenir préfet de la Diglette Saint-Michel, maison de vacances des pères jésuites de Saint-Michel et centre de vacances, construite en 1932, en lisière de la forêt de Saint-Hubert. De 1988 à 2017, il en sera l’animateur et y déploiera son génie du bricolage. Forcé par son grand âge de se replier vers la maison de la Colombière à l’arrière de Saint-Michel, il continuera à rédiger des livres. On lui doit notamment Souvenirs d’un vieux routier de l’éducation qu’il publie à l’âge de cent ans. Né à Etterbeek le 12 septembre 1929, Hubert Jacobs réalise ses études secondaires à l’institut Saint-Stanislas et au collège Saint-Michel avant d’entrer, dès ses 18 ans, au noviciat de la Compagnie de Jésus. Il y est ordonné prêtre le 7 septembre 1960 et réalise sa formation à Eegenhoven puis à Chantilly en France. C’est pour sa régence qu’il arrive à Saint-Servais à Liège. Il prononce ses derniers vœux dans la Compagnie en 1965 et réalise son doctorat en philosophie à l’Université de Namur qu’il ne quittera plus. Entre la faculté de philosophie et lettres, le Grand Séminaire, les éditions jésuites de la rue Blondeau, l’avenue Reine Astrid où il donne cours d’histoire de la spiritualité aux propédeutes de l’Emmanuel, la bibliothèque et le CDD…  S’il est également professeur à l’IET (Institut d’Études Théologiques) de Bruxelles, au noviciat jésuite ou à la Fraternité de Tibériade, c’est à l’UNamur qu’il réalise sa carrière académique comme professeur d’histoire de la philosophie. Professeur très aimé de ses étudiants, il hérita du surnom de ‘Père adorable’. Grand pédagogue, il n’hésitait pas à émailler ses cours d’anecdotes fleuries pour rendre vivante cette histoire de la pensée qu’il aimait tant. De longues discussions s’en suivaient devant un café chaud où les apprentis philosophes discutaient avec lui des heures durant.
Né à Etterbeek le 12 septembre 1929, Hubert Jacobs réalise ses études secondaires à l’institut Saint-Stanislas et au collège Saint-Michel avant d’entrer, dès ses 18 ans, au noviciat de la Compagnie de Jésus. Il y est ordonné prêtre le 7 septembre 1960 et réalise sa formation à Eegenhoven puis à Chantilly en France. C’est pour sa régence qu’il arrive à Saint-Servais à Liège. Il prononce ses derniers vœux dans la Compagnie en 1965 et réalise son doctorat en philosophie à l’Université de Namur qu’il ne quittera plus. Entre la faculté de philosophie et lettres, le Grand Séminaire, les éditions jésuites de la rue Blondeau, l’avenue Reine Astrid où il donne cours d’histoire de la spiritualité aux propédeutes de l’Emmanuel, la bibliothèque et le CDD…  S’il est également professeur à l’IET (Institut d’Études Théologiques) de Bruxelles, au noviciat jésuite ou à la Fraternité de Tibériade, c’est à l’UNamur qu’il réalise sa carrière académique comme professeur d’histoire de la philosophie. Professeur très aimé de ses étudiants, il hérita du surnom de ‘Père adorable’. Grand pédagogue, il n’hésitait pas à émailler ses cours d’anecdotes fleuries pour rendre vivante cette histoire de la pensée qu’il aimait tant. De longues discussions s’en suivaient devant un café chaud où les apprentis philosophes discutaient avec lui des heures durant. Né à Liège le 6 mai 1951, sa famille s’installe au Congo cinq ans plus tard, avant d’en revenir de manière précipitée en 1960. Il devient ingénieur commercial et de gestion (UCL). Il se spécialise dans les chiffres et devient comptable, puis expert-comptable en 1985 quand le titre est reconnu.
Né à Liège le 6 mai 1951, sa famille s’installe au Congo cinq ans plus tard, avant d’en revenir de manière précipitée en 1960. Il devient ingénieur commercial et de gestion (UCL). Il se spécialise dans les chiffres et devient comptable, puis expert-comptable en 1985 quand le titre est reconnu. Né à Namur le 7 avril 1941, Jacques Liesenborghs sera un temps membre de la Compagnie de Jésus.  Il devient licencié en philologie classique de l’Université catholique de Louvain (1964), puis enseigne le latin et le grec au collège Cardinal Mercier à Braine-l’Alleud à partir de 1965, avant de devenir le directeur de l’établissement en 1970 à l’âge de 29 ans, fonction qu’il assure jusqu’en 1977. Il y régnait un climat imprégné de Mai 68, propice à l’innovation. Le collège est ainsi devenu un lieu d’expression culturelle, avec des concerts d’élèves, des pièces de théâtre, etc. Mais il sera très vite confronté à une partie de l’association de parents hostile au type d’initiatives à prendre, et surtout sur la place qu’on donnait aux propositions des élèves. Ces débats furent même relayés dans la presse.
Né à Namur le 7 avril 1941, Jacques Liesenborghs sera un temps membre de la Compagnie de Jésus.  Il devient licencié en philologie classique de l’Université catholique de Louvain (1964), puis enseigne le latin et le grec au collège Cardinal Mercier à Braine-l’Alleud à partir de 1965, avant de devenir le directeur de l’établissement en 1970 à l’âge de 29 ans, fonction qu’il assure jusqu’en 1977. Il y régnait un climat imprégné de Mai 68, propice à l’innovation. Le collège est ainsi devenu un lieu d’expression culturelle, avec des concerts d’élèves, des pièces de théâtre, etc. Mais il sera très vite confronté à une partie de l’association de parents hostile au type d’initiatives à prendre, et surtout sur la place qu’on donnait aux propositions des élèves. Ces débats furent même relayés dans la presse. Ce numéro est d’abord consacré au chanoine Georges Lemaître, promoteur de la cosmologie relativiste moderne fondée sur le concept d’expansion de l’univers, reconnu internationalement comme le « père du Big Bang ».
Ce numéro est d’abord consacré au chanoine Georges Lemaître, promoteur de la cosmologie relativiste moderne fondée sur le concept d’expansion de l’univers, reconnu internationalement comme le « père du Big Bang ». Le deuxième Ancien, lui vraiment par trop méconnu, fut élève du collège en 1947, et nous a quittés près de vingt-huit ans après l’effondrement de l’URSS ratifié par Mikhaïl Gorbatchev en direct à la télévision moscovite. Le 9 octobre 2019 en effet, à Grez-Doiceau, entrait pieusement dans la paix du Seigneur le comte Anthony de Meeûs, né le 12 janvier 1929 à Auderghem, l’un des principaux artisans, dans l’ombre, de la chute d’un impitoyable système totalitaire qui se croyait promis à l’éternité. Cet homme aussi extraordinairement humble qu’il était extraordinairement résolu dans son combat quasi singulier contre le totalitarisme fut, avec Simon Leys et Jerzy Lukaszewski, l’un des trois grands militants belges des droits de l’Homme dans la seconde moitié du XXe siècle. En septembre dernier, nous avons commémoré le cinquantenaire de la création par lui des Cahiers du Samizdat (1972-1988), l’unique édition mondiale en français des écrits que les dissidents parvenaient à transmettre au monde libre au travers des mailles du Rideau de Fer, les samizdats.
Le deuxième Ancien, lui vraiment par trop méconnu, fut élève du collège en 1947, et nous a quittés près de vingt-huit ans après l’effondrement de l’URSS ratifié par Mikhaïl Gorbatchev en direct à la télévision moscovite. Le 9 octobre 2019 en effet, à Grez-Doiceau, entrait pieusement dans la paix du Seigneur le comte Anthony de Meeûs, né le 12 janvier 1929 à Auderghem, l’un des principaux artisans, dans l’ombre, de la chute d’un impitoyable système totalitaire qui se croyait promis à l’éternité. Cet homme aussi extraordinairement humble qu’il était extraordinairement résolu dans son combat quasi singulier contre le totalitarisme fut, avec Simon Leys et Jerzy Lukaszewski, l’un des trois grands militants belges des droits de l’Homme dans la seconde moitié du XXe siècle. En septembre dernier, nous avons commémoré le cinquantenaire de la création par lui des Cahiers du Samizdat (1972-1988), l’unique édition mondiale en français des écrits que les dissidents parvenaient à transmettre au monde libre au travers des mailles du Rideau de Fer, les samizdats.

 Je remercie Jean-Pierre Orban (Ads 1968 B) de m’avoir envoyé ce livre, dont il n’est pas l’auteur mais qu’il a traduit, après l’avoir choisi pour entrer dans la Collection qu’il dirige pour les Editions Vents d’Ailleurs.
Je remercie Jean-Pierre Orban (Ads 1968 B) de m’avoir envoyé ce livre, dont il n’est pas l’auteur mais qu’il a traduit, après l’avoir choisi pour entrer dans la Collection qu’il dirige pour les Editions Vents d’Ailleurs. Voici le sixième roman de Nathalie Stalmans (Ads 1988), dont trois commentés dans Horizons, après Le Vent du Boulet et Si j’avais des Ailes.
Voici le sixième roman de Nathalie Stalmans (Ads 1988), dont trois commentés dans Horizons, après Le Vent du Boulet et Si j’avais des Ailes. Vous le savez, Jacques Ickx a été récemment mis à l’honneur par les Anciens, sur la Fresque des 100 ans que nous avons inaugurée cette année ; bien entendu, une notice le concernant peut être retrouvée en page 79 du Livre du Centenaire de l’AESM.
Vous le savez, Jacques Ickx a été récemment mis à l’honneur par les Anciens, sur la Fresque des 100 ans que nous avons inaugurée cette année ; bien entendu, une notice le concernant peut être retrouvée en page 79 du Livre du Centenaire de l’AESM. Le Père Matteo Ricci, jésuite italien, est l’un des missionnaires les plus célèbres de la fin du XVIe -début du XVIIe siècle.
Le Père Matteo Ricci, jésuite italien, est l’un des missionnaires les plus célèbres de la fin du XVIe -début du XVIIe siècle.